addition
Si le trait de barrure est dans quatre-vingt-dix-neuf pour cent des cas la trace incontestable d’un mot que le scripteur a provisoirement abandonné, il n’existe pas toujours de trace aussi graphiquement pertinentes pour l’ajout. Parce que tout peut être ajout, chaque mot écrit l’un derrière l’autre peut être considéré comme le mot qui en remplace un autre et que l’on aurait tendance à réduire à une substitution.
(Crasson 2010, 46)